Olivier-Paul, Yolande - Avis de décès | Coopérative funéraire de l'Estrie

Olivier-Paul, Yolande

OLIVIER-PAUL, Yolande

1947 - 2017

C’est entouré des siens qu’est décédée au CHUS Hôtel-Dieu, madame Yolande Olivier, le 27 décembre 2017, à l’âge de 70 ans. Elle était l’épouse de monsieur André Paul et la fille de feu madame Antoinette Fournier et de feu monsieur Oscar Olivier.

La famille recevra les condoléances, en présence du corps, à la Coopérative funéraire de l'Estrie, 485, rue du 24-Juin, Sherbrooke, J1E 1H1, vendredi le 12 janvier 2018, de 14 h à 16 h et de 19 h à 21 h, ainsi que le samedi 13 janvier, jour des funérailles, de 9 h à 10h30. Suivra à la chapelle du complexe une liturgie de la parole. Les cendres seront mises en terre au cimetière d’East Angus à une date ultérieure.

Outre son époux, madame Olivier laisse dans le deuil son fils Pierre Paul et sa fille Maryse Paul (Albert Lemelin), ses petits-enfants : Pierre-Olivier Lemelin (Kamélie Roy), Frédéric Lemelin (Léa Vidal Lessard), Sophie Lemelin (Gabriel Paquet Hétu) et Gabriel Lemelin. Elle laisse également ses frères et sœurs, beaux-frères et belles-sœurs, autres parents et amis.

La famille tient à remercier sincèrement le personnel du 6e (soins palliatifs), du CHUS Hôtel-Dieu pour les bons soins prodigués à madame Olivier. Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à La Rose des vents de l'Estrie. Des formulaires seront disponibles sur place.


17 messages reçus

André et ses enfants et à la famille Olivier

Nous vous offrons nos plus sincères condoléances.
La perte d'un être cher est toujours difficile à accepter, le temps adoucira cette douleur vive qui vous accable.

Louisette et Marcel Fouquet, le 29 décembre 2017

André, Pierre et Maryse

Nous partageons votre peine et le poids de cette épreuve.
Croyez en notre affection.

Bien sincèrement,

Les cousines Fouquet

Jeannine Fouquet, le 30 décembre 2017

Andre et les enfants

toutes nos sympathies

pierre et Therese Lemieux, le 2 janvier 2018

André Paul

Toutes nos condoléances, M. Paul, c'est avec stupéfaction que nous avons appris la mauvaise nouvelle. Toutes nos pensées vous accompagnent, vous et votre famille.

Les membres du Comité du Club Social AMF Canada

Lucie Coderre, le 5 janvier 2018

André

Que mes pensées les plus profondes de sympathie te réconfortent au milieu de la peine qui te secoue d'avoir perdu la présence de ta compagne de vie. D'un ami sincère, René.

René Girard, le 5 janvier 2018

André Paul & famille

Je perds une cousine et une bonne amie.
Mes sympathies à la famille.

Christian Olivier, le 5 janvier 2018

Famille de Yolande

Mes plus sincères condéléances

Bernard Fréchette (Thahilande, le 6 janvier 2018

Yolande Olivier

André et ses enfants et à la famille Olivier

Mes plus sincères condoléances.
À mon amie d'enfance qui était chère à mon cœur.
Je ne t'oublierai jamais.

Jeannette Bolduc, le 7 janvier 2018

Famille Olivier

Bonjour,
Un petit mot pour vous offrir mes sincères condoléances.
Mes meilleures pensées vous accompagnent!
Bon courage à vous,
Cécile Bibeau-Fouquet

François Fouquet (pour Cécile), le 12 janvier 2018

André Paul et ses proches

Mes plus sincères condoléances à toi et toute ta famille, mes pensées sont avec vous.
Bon courage.

Nicole Daigle, le 13 janvier 2018

Grand-maman yoyo

Ma belle grand-maman,

Tout le monde le sait, t’es partie beaucoup trop vite... Je ne réalise toujours pas que c’est vrai, que tu es réellement partie... Je continue de penser qu’on va retourner souper chez toi le dimanche, que tu nous cuisineras toutes tes bonnes recettes, qu’on rigolera autour de la table et qu’en fin de soirée, on se dira « on se voit dimanche prochain »...

Je t’avais tricoté un toutou de tortue pour noël... Je me souviens te l’avoir donné quand tu étais à l’hôpital, tu venais d’avoir ton AVC et j’étais tellement triste de ne pas t’avoir donné le toutou plus tôt, pour que tu puisses le voir... Mais contre toutes mes attentes, tu l’as quand même remarqué, tu ne le lâchais pas, quand les infirmières venaient te déplacer dans ton lit et qu’elle mettait le toutou ailleurs, ta main partait à sa recherche, tu ne voulais pas le perdre... quand je t’ai vu le serrer fort dans ta main, ça m’a fait tellement chaud au cœur. J’espère que cette petite peluche t’as apaisée et t’as guidée dans tes derniers moments. Cette tortue me donnait l’impression que même lorsque je ne pouvais pas être à l’hôpital, j’étais quand même avec toi à travers elle.

On doit tous apprendre à vivre avec ta lourde absence. Ne t’inquiète pas, on ne risque pas de t’oublier. C’est quétaine à dire mais c’est vrai, tu resteras toujours dans nos cœurs.

En terminant, même si c’est pas dimanche prochain qu’on se revoit, ni l’autre d’après, je confiance qu’on va se revoir un jour, je t’aime fort.

Sophie

Sophie Lemelin, le 14 janvier 2018

Maman (Yolande)

La vie nous joue parfois de très vilains tours…

Je pensais t’avoir avec moi encore de nombreuses années. Je nous imaginais autour de la table le dimanche, toute la famille, agrandie de tes arrières-petits enfants un jour, à savourer tes bons plats. Tu savais si bien nous réunir autour d’une bonne table chaque dimanche, poursuivant la tradition de ta mère.

Tu as bien pris soin de nous. Tu étais une mère attentionnée et généreuse et une grand-maman si aimante pour tes petits-enfants Pierre-Olivier, Frédéric, Sophie et Gabriel que tu chérissais. Avec ton grand cœur, tu as tellement pris soin de ta sœur malade qu’elle te considérait comme sa deuxième mère.

Ce jour où tu es entrée à l’hôpital, j’étais convaincue que tu allais en ressortir quelques jours après, remise sur pied et que la vie allait reprendre son cours. Puis les mauvaises nouvelles se sont succédées. Tu es restée calme et résignée, sereine comme tu disais toi-même alors que le plancher s’ouvrait sous nos pieds. Ton seul souhait était de ne pas souffrir de ce mal qui te rongeait déjà sans qu’on le sache. Je pense au fond que tu t’en doutais déjà et que papa aussi le sentait et le redoutait mais le choc n’en a pas été moins brutal.

Ta famille se resserrait les coudes et nous allions faire tout notre possible pour t’entourer et te donner beaucoup d’amour afin de rendre des derniers mois plus supportables. Puis à nouveau nous avions un choc. Un AVC nous a privés de ces derniers moments avec toi. Nous avons pu te parler et te dire tout l’amour que nous avons pour toi et j’espère que tu nous as entendus et que tu l’as ressenti dans tes rares moments d’éveil alors que nous étions réunis à ton chevet.

Ton souhait a été exaucé, tu n’as pas eu le temps de souffrir de ce mal que tu redoutais tant. L’AVC qui nous a privé de bons moments avec toi aura été presqu’une bénédiction pour toi puisqu’il t’a permis de t’envoler comme tu l’avais toujours souhaité, paisiblement dans ton sommeil comme si inconsciemment tu avais trouvé une porte de sortie pour un départ tout en douceur…

Tu es partie tôt, beaucoup trop tôt mais que tu n’aies pas senti de souffrance met un léger baume sur notre grande tristesse. Ma maman d’amour nous a quitté et tu laisses un grand vide mais je sais que te voir souffrir pendant des mois n’aurait pas été plus facile pour toi ni pour tous les gens qui t’aiment.

Ton départ en cette période qui est supposé en être une de réjouissances a été très difficile pour tous. Une amie m’a fait une remarque que je trouvais remplie de sens malgré la douleur. Chaque année, au moment de l’anniversaire de ton décès, nous seront tous réunis pour penser à toi. Nous allons être encore tristes de ton départ mais nous le vivrons ensemble.

Je te demande de veiller sur nous tous qui t’aimons tant et particulièrement sur papa qui t’adore plus que tout. Il a perdu sa tendre moitié à ton départ. Ne t’inquiète pas, Pierre, Albert, les enfants, leurs conjoints et moi allons l’entourer d’amour mais nous avons besoin de ton aide.

Maman, tu me manques déjà tellement!
Je t’aime
Ta fille, Maryse xxx

Maryse Paul, le 14 janvier 2018

Yolande Olivier

On est mardi 2 janvier 2018. Il est 19:15. Pierre vient de partir pour la Beauce.

C'est la première fois où je suis vraiment seul sans aucun espoir de te revoir, de te parler, de t'embrasser, de te serrer dans mes bras. Quel enfer.

À la vitesse de l'éclair, nos 52 ans de vie commune défilent devant mes yeux et toi tu ne les vois plus. Tu es désormais ailleurs sans moi.

On en a vécu des choses toutes ces années, des très belles, des belles, des moins belles, mais celles dont je me souviens le mieux sont les belles et les très belles comme toi.

Je me souviens d'un certain 11 août où nous avons été témoins du mariage de Maryse à Albert. Tes parents s'étaient mariés aussi un 11 août. J'aurais été tellement heureux de t'accompagner le 11 août prochain au mariage de Léa et Frédéric.

Tu auras été une merveilleuse mère et une formidable grand-mère et tu vas beaucoup manquer à Pierre, à Maryse, à Albert, à Pierre-Olivier et Kamélie, à Frédéric et Léa, à Sophie et Gabriel, à Gabriel. Tu laisses un énorme vide dans ma vie.

En fait, tu vas manquer à énormément de gens qui se souviendront toujours de ta gentillesse, de ta grande douceur, de ta joie de vivre, de ton sens de l'émerveillement et de ton magnifique sourire, de ton amour.

Tu as été une personne extraordinaire et ton passage dans chacune de nos vies aura été un gros plus.

Beaucoup de réflexes vont me revenir régulièrement, le café à 15:00 heures, les petits baisers sur tes cheveux accompagnés de mon slogan : tu sens "bonne" slogan que tu as cessé de corriger à la longue. Les massages à l'antiphlogistine sur ton dos souffrant. Ne plus pouvoir te serrer dans mes bras, ça, ça va tellement me manquer.

Merci, ma belle Yolande pour Pierre et Maryse

Merci pour ces 52 années de bonheur dont tu m'as fait profiter à tes côtés.

Je vais garder un souvenir impérissable de cette superbe dame d'une immense générosité sur qui j'ai pu compter constamment.

Yolande, je t'aime

Je t'aime tellement

Je t'aimerez jusqu'à ma mort.


Tu as été mon grand amour.

Tu vas tellement me manquer, tellement me manquer.

André Paul, le 15 janvier 2018

Ma chère Yolande

Tu es parti trop vite. Il me semble que notre grande amitié aurait pu faire un autre bout de chemin. Hélas, c’est ici que s’arrête ta route. Je dois m’y faire.
On m’a demandé, pourquoi j’avais tant de peine à la suite de ton départ.
En y pensant bien, j’ai compris que ta seule présence a comblé chez-moi une carence, celle d’une véritable chaleur humaine et d’un très grand respect. On n’avait pas nécessairement les mêmes intérêts mais peu nous importait puisqu’on savait profiter de nous deux autrement.
En s’acceptant tel quel, mutuellement sans se poser de questions. On profitait aussi souvent que nécessaire de nos pauses-cafés et c’était ben correct comme ça.
Tu m’as apporté beaucoup sans t’en rende compte. Moi-même, je n’en avais pas conscience réellement parce que ta grandeur de coeur se cachait tout naturellement derrière tes grands éclats de rire.
Oui, on était bien ensemble! Depuis le tout début de notre arrivée à Sherbrooke, quand nos filles avaient à peine deux ans et pendant plus de 50 ans. Toi et André auront été nos seuls vrais et fidèles amis.
Je ne pourrai plus dire maintenant : Yolande pis André. Ça fait déjà partie du passé. Il en est ainsi.
Je me souviens de nos sorties au resto le samedi soir en couple. On ne peut oublier ces escapades de bouffe. Après s’être empiffrés joyeusement, on revenait soit chez-nous ou chez-vous pour continuer à jaser, à rire et à être ‘ juste bien ‘ ensemble.
On se donnait le meilleur de nous : des mises à jour de joie et d’élan de vie. A chacun ensuite de s’occuper du reste, sachant évidemment que l’autre était là au besoin, n’importe quand.


On retournait à notre quotidien, imprégné de nos douces conversations et de nos p’tits moments de bonheur tout simple. Quand ça passe, on ne réalise pas toujours cette joie qu’on a de se côtoyer. C’est après coup qu’on se rend compte, combien cette période était riche en affection et en tendresse.
Vous êtes venus demeurer au-dessus de nous sur Westmount il y a de cela 37 ans. Un soir, mon bébé Marc a fait ce qui ressemblait à une convulsion. J’étais paniqué, j’ai figé et j’ai crié ‘Yolande’. Vous êtes descendus à toute vitesse. Comme je ne bougeais pas, tu as dit à André : Vite, va les reconduire à l’hôpital. Tu m’as aidé à emmitoufler le bébé raide comme une barre, et on est parti. Tu as pris les choses en main et je vous dis merci à vous deux pour cette aide.
Yolande, nos téléphones réguliers me manquent déjà beaucoup. On peut pas s’imaginer à quel point, chaque petit geste peut être important pour l’autre.
Est-ce que je peux avoir beaucoup de peine ? Je m’en donne le droit. Je sais que ça va s’atténuer avec le temps.
Oui, je vais me guérir, on va se guérir, avec ton aide Yolande parce que je sais que tu continueras de veiller sur nous. Tranquillement, on va absorber le choc et on va continuer, sans toi, comme tu voudrais qu’on le fasse.
Yolande, à l’ère du numérique et de la performance à tout prix, nos deux lumières se sont rencontrées.
En attendant de te rejoindre, j’aimerais quand même que tu me fasses une p’tite place pas loin de toi, juste pour qu’on profite encore de soi. J’aimerais tellement. Enfin, je le souhaite vraiment !
Ta sœur cosmique te crie:
‘’ Bye, j’ t’aime pis je t’embrasse ‘’

Marie Oligny, le 16 janvier 2018

Andre, et ta famille

Yolande Paul Olivier, ma chere Belle Soeur, a chaque fois qu'on se
voyaient tu me disais "Qu'on est donc bien chez nous". Assises toutes
les deux sur ton petit banc dans la cour avec une bonne tasse de cafe,
entouree de fleurs, On etait vraiment bien chez vous. Tu appreciaient ce qui est le
plus important dans la vie, ta famille, comblee de ton amour et ton
foyer. On echangeaient des souvenirs. De temps a autres le chat du
voisin passait pour nous agasser et notre message etait clair, toi, dans
ta cour. J'ai bien aime te connaitre et tu vas me manquer beaucoup. Quand je serai
assise sur un banc, dehors, entourée de fleurs, j’aurai une pensée particulière
pour toi et ces moments.

Colette Paul, le 24 janvier 2018

Ma sœur Yolande

Ma sœur Yolande c’est cette superbe femme qui a su créer d’innombrables et merveilleux souvenirs tout au long de ma vie.
C’est cette femme qui m’accueillait chaque été chez-elle avec sa famille pour une semaine de vacances avez Maryse et Pierre ou au bord de la mer à Old Orchard Beach cordés dans une roulotte afin que nous puissions profiter de la mer en famille.
C’est le souvenir d’une superbe semaine à Wildwood avec Marc et André où nous avons ri jours après jours et qui jusqu’à ce jour faisait encore l’objet de taquinerie sur les moments cocasses passés ensemble durant cette semaine.
Cette personne extraordinaire qui était une femme, une mère, une sœur et une belle-sœur généreuse qui ne comptait pas les heures passées à s’occuper de ceux qu’elle aimait sans rien demander en retour.
Cette passionnée qui parlait avec animation de sujets variés et qui débattait fièrement ses convictions avec ardeur.
C’est ses séjours avec Pauline chez-nous chaque été pour ce que nous appelions leur pèlerinage annuel à Ste-Julie.
Ce sont nos retrouvailles chaque vendredi soir à East Angus pendant plusieurs mois où nous abordions la vie sous différentes facettes et où nous discutions toutes les deux autour d’un verre de vin.
Yolande c’est la cuisinière hors pair, la ricaneuse et cette aimante de la vie qui aimait passer du bon temps avec les siens autour d’un bon repas, d’une bonne bouteille et qui généreusement accueillait les membres de sa famille avec une bonne humeur contagieuse.
Yolande c’est tout ça et bien plus encore et elle me manquera chaque jour pour le reste de ma vie.
Bon voyage ma Yoyo xx

Nathalie Olivier, le 29 janvier 2018

Yolande Olivier

À mon amie Yolande

Quand je pense à toi, la définition de l’amitié prend tout son sens. Tu fais partie de ma vie depuis toujours. Très tôt, tu as pris une grande importance pour moi, d’ailleurs, je me souviens que tu étais venue jouer chez-moi et tu avais de jolies petites tresses blondes. Quand est venue l’heure où tu devais partir, la petite fille que j’étais a trouvé comme seul moyen de te retenir, d’empoigner une de tes tresses pour te faire changer d’idée.

Tôt, nous avons formé un joyeux petit trio, toi, Jeannette et moi, j’aurais bien aimé raconter quelques petites bourdes de l’école mais nous étions bien sages sous la surveillance des religieuses. Par contre, je me souviens de tes collations préférées, tes chers biscuits sodas.

Devenues adolescentes, nous avons partagé nos premières expériences donc nos premiers amours, nos premières sorties et nos premières lueur de liberté. Une de nos sorties préférées était d’aller manger au café Angus, endroit où elle a rencontré son grand amour André qu’elle a épousé.
On a pris toutes les trois notre envol, nous savions que nous pouvions compter l’une sur l’autre. De votre union sont nés deux enfants, Pierre et Maryse et quatre petits enfants dont elle était très fière.
Notre rendez-vous annuel, toi, Jeannette et moi était très important pour les trois et toi Yolande quel beau sourire tu avais après avoir pris tes 2 petites coupes de vin on ne se limitait plus seulement juste au Café Angus.

Ton humilité, ton support, ta douceur, ton écoute et ton soutien vont nous manquer, j’aurais aimé encore tenir ta petite tresse blonde pour que tu restes.

Je t’aime

Bye mon amie.

Ginette.

Ginette Giguère, le 28 février 2018

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