16 messages reçus
FamilleGaudreault2019@gmail.com
Au revoir, cher M. Gaudreault. Difficile de croire qu'une personne aussi singulière et attachante que vous soit partie. Vous étiez et resterez toujours, un esprit libre et brillant que rien ni personne n'arrêtera plus. Votre sens de l'humour nous accompagnera tous.
Merci de m'avoir recruté il y a 9 ans pour travailler dans votre chère équipe du SARIC.
Ce fut un privilège de vous connaitre et plaisir de travailler pour et avec vous.
Amitiés,
Pascale
Pascale Mercier, le 18 novembre 2019
FamilleGaudreault2019@gmail.com
Cher M Gaudreault,
Je suis contente d'avoir pu travailler au sein de votre équipe du SARIC. Merci pour votre sens de l'humour et pour votre humanité.
Toutes mes sympathies à votre famille sur laquelle vous pouvez maintenant veiller sereinement et soulagé de toute douleur.
Amitiés,
Alina
Alina Mihaila, le 18 novembre 2019
Conjointe et enfants
Mesdames, je tiens à vous offrir mes plus sincères condoléances. Je vous souhaite beaucoup de courage dans cette épreuve. J'ai beaucoup apprécié travailler avec M. Gaudreault dans mes premières années à l'Université de Sherbrooke, au Bureau de la recherche. Je garderai certainement un très bon souvenir de lui.
Elaine Simoneau
Université de Sherbrooke
Elaine Simoneau, le 19 novembre 2019
Blanche et Catherine Gaudreault
Toute ma sympathie pour le décès de Pierre.
Votre cousine,
Manon Duhamel
Manon Duhamel, le 19 novembre 2019
Thérèse Richer
Sincères condoléances, Thérèse, et à toute la famille. Vous êtes tous dans mes prières et mes pensées.
Linda M Hendry, le 19 novembre 2019
FamilleGaudreault2019@gmail.com
Au revoir Monsieur Gaudreault,
J’ai eu le privilège de vous côtoyer l’été dernier, lors de mon contrat au SARIC. Vous étiez un être exceptionnellement attachant et doué d’un sens de l’humour particulier. Toutes mes condoléances à vos proches sur lesquels, vous pourrez désormais veiller, libéré de votre douleur.
Martine Dallaire
Université de Sherbrooke
Martine Dallaire, le 20 novembre 2019
Blanche et Catou
C'est avec beaucoup de peine que j'apprends le décès de Pierre. Je garde dans mon cœur le souvenir d'un grand joueur de tours, j'entends encore son rire et revois ses yeux espiègles.
À vous mes cousines que les épreuves n'ont pas épargnées dernièrement, je vous offre toutes mes condoléances. Je suis avec vous de tout cœur.
Luce, le 20 novembre 2019
Pierre
Nous avons fait presque 50 ans de route.
Des fois proche, des fois de loin.
Aussi longtemps que je vie, tu vivras.
J'imaginerai que tu est loin
Et reviendra
Jean R, le 21 novembre 2019
La famille Gaudreault
Nous tenons à vous offrir nos plus sincères condoléances en ces moments difficiles et nos pensées sont avec vous. Nous n’avons que de bons souvenirs de Pierre.
Paule et Bill, le 22 novembre 2019
la famille
J'offre les plus profondes sympathies à la famille.
Que son esprit rieur, enjoué et intelligent nous accompagne tout au long de notre vie.
Pierre Rousseau, employé au SARIC de l'Université
Pierre Rousseau, le 22 novembre 2019
Blanche Gaudreault et Catherine Gaudreault
Mes plus sincères condoléances à vous deux et à votre mère pour le décès de Pierre. Faire le deuil d’une personne proche de nous est très difficile et mes pensées sont avec vous dans ces moments difficiles.
Gil Duhamel et Johanne Maheux
Gil Duhamel, le 22 novembre 2019
Famille Gaudreault
C'est avec tristesse que je viens de lire cette nouvelle. J'ai eu l’occasion de travailler à plusieurs reprises avec M. Gaudreault et j'en garde un excellent souvenir... Sincères condoléances à toute la famille et bon courage dans cette période difficile.
noureddine Atalla, le 22 novembre 2019
À la famille
M. P-R. Gaudreault était l’un des piliers du développement de la recherche à l’université de Sherbrooke. On avait travaillé ensemble de 2005 à 2009, alors que je servais la Faculté de génie en tant que vice-doyen à la recherche.
Mes pensées et mes sincères sympathies pour toute la famille.
Radhouane Masmoudi , le 22 novembre 2019
Thérèse Richer-Gaudreault, Simone et Galina Gaudreault
Famille Gaudreault et Richer,
À Thérèse, Simone et Galina,
C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le grand départ de Pierre-Richard Gaudreault. Je ne sais pas comment rassembler les souvenirs, tous bons, que je garde et garderai toujours de lui. Je sais que votre douleur est grande, plus grande qu’il n’est possible de le dire, et les mots manquent aussi pour décrire la personne, le Nord de la boussole, le point de repère qu’il a été pour moi, bien que je sache d’avance que ces quelques mots n’y arriveront pas. Je lui dois tant. Tous les lundis matin nous avions une réunion statutaire qu’il nous arrivait parfois de reporter, pas souvent. Nous y arrivions tous les deux un peu maussades de retourner au travail, mais prêts pour une nouvelle semaine. Depuis plus de 17 ans. Ce sont beaucoup de lundis matin. Il veillait sur mon travail avec une bienveillance et une intelligence hors du commun. Il avait la gentillesse de prendre des nouvelles de ma santé, de ma fille et de ceux que j’aime, et m’a rappelé des milliers de fois l’équilibre qu’il faut garder entre le travail et le reste de la vie, lui qui travaillait comme un forcené avec une telle générosité. Il a donné beaucoup à l’Université de Sherbrooke qui lui doit le succès de plusieurs de ses plus belles subventions de recherche et une partie de ce qu'elle est devenue aujourd'hui. Il ne s’en vantait jamais, on aurait pu croire qu’il l’ignorait. Cette magnanimité de sa part, cette espèce d’absence de vanité compte parmi ses plus extraordinaires qualités, des qualités exceptionnelles, à mes yeux. Son savoir-faire, sa créativité, sa vivacité le rendait sans pareil pour dénouer un problème comme par magie, trouver les mots justes et efficaces qui sont si précieux dans notre travail, contourner les obstacles inutiles. Je l’admirais. Ses conseils étaient de l’or. Pour tous. Il était un mentor, un conseiller en qui j’avais la plus grande confiance, une confiance dont je suis avare et que je n’accorde qu’à très, très, très peu de personnes, et que, sans doute, je n’accorderai plus jamais à personne. Il savait « voir ». Il savait discerner l’important du superficiel dans toute situation. Il m’a montré en peu de mots tout ce qui était utile à mon travail. Il m’a montré que peu de mots valaient mieux que des discours creux. Je le savais, mais, lui, il le prouvait. Il n’avait pas peur de se remettre en question, il n’avait pas de dogme. Plus encore il savait être vrai. Nous partagions le même humour, et peut-être une vision semblable de ce qu’est la loyauté et l’intégrité. Nous nous sommes toujours vouvoyés, c’était sa marque de commerce; au SARIC, le vouvoiement régnait entre le patron et les employés, signe de respect, signe de professionnalisme, une étiquette jamais remise en question. Il avait un cœur d’enfant et savait trouver en tout la distance de jeu, libératrice. Il a fait de moi ce que je suis, professionnellement et même comme personne. Je le pleure et son souvenir restera vivant dans mes pensées, il continuera d’inspirer mes décisions, mes choix, mes colères et mes joies. Il vous aimait, parlait de Thérèse, parlait de Simone, parlait de Galina, parlait de ses petits-enfants et des livres qu’il leur lisait. Il vous aimait de tout son cœur d’enfant et de tout son cœur d’adulte.
Je pourrais continuer pendant des pages et des pages. Vraiment. Mais il disait si souvent : « keep it simple, stupid ! », et je vais essayer une fois de plus de faire comme il disait.
Je vous offre toutes mes sincères condoléances et partage votre chagrin.
Brigitte
Brigitte Leduc, le 22 novembre 2019
La famille Gaudreault
En tant que responsable des ressources humaines, je faisait partie du comité qui avait embauché Pierre-Richard au CRSNG. Je n’ai que de bons souvenirs de lui pendant son séjour au Conseil. En particulier, nous avons été membres d’un comité spécial et comme je présidais ce comité, il m’avait surnommée Madame la Chaise. Il était un collègue de travail professionnel et bien apprécié.
Mes sincères sympathies à tous les siens.
Monique Lévesque
Monique Lévesque, le 12 décembre 2019
Famille
Pierre-Richard m'a appris à mieux rédiger les projets de recherche. Mes interactions avec lui furent enrichissantes et amicales, Mes sincères condoléances à sa famille. Reposes en paix Pierre-Richard.
Djemel Ziou, le 9 février 2021
